Nous sommes dans une ville. On a l’impression d’être dans un autre monde, comme dans un espace temporairement enlevé de toute évolution. C’est une parenthèse urbaine, un petit monde étrange incrusté dans une grande ville.
Plus de voiture, plus de bruit, on découvre des jardins secrets, des interventions artistiques, l’envers du décor, les éléments d’un monde disparu. Dans cet « espace inhabitable », les animaux, plantes, les activités urbains et les arts coexistent paisiblement.
On est là, mais personne ne le sait. On est détaché de la ville, on la regarde avec de nouvelles perspectives, de nouveaux points de vue. Nous sommes dans un lieu poétique en train de contempler les rythmes de la vie contemporaine.
Ces photos nous montrent la « petite ceinture » à Paris qui reliait les principales gares autour de la ville. Elle est abandonnée depuis les années 1930. C’est une trace d’un monde disparu.
Plus de voiture, plus de bruit, on découvre des jardins secrets, des interventions artistiques, l’envers du décor, les éléments d’un monde disparu. Dans cet « espace inhabitable », les animaux, plantes, les activités urbains et les arts coexistent paisiblement.
On est là, mais personne ne le sait. On est détaché de la ville, on la regarde avec de nouvelles perspectives, de nouveaux points de vue. Nous sommes dans un lieu poétique en train de contempler les rythmes de la vie contemporaine.
Ces photos nous montrent la « petite ceinture » à Paris qui reliait les principales gares autour de la ville. Elle est abandonnée depuis les années 1930. C’est une trace d’un monde disparu.
